L’artiste suisse Virginie Probst, présente une nouvelle série de peintures inspirée par de longs séjours en Indonésie où les rituels d’offrandes de fleurs, fruits et riz sont ancrés dans la vie quotidienne.
Née le 30 décembre 1967 à Genève, reconnue pour ses œuvres vibrantes et colorées, l’artiste invite ici à une exploration poétique de l’offrande, comme un geste de dévotion envers quelque chose de plus grand que soi, un hommage à l’Amour, perçu comme la force créatrice originelle.
“Dans “Pangea” j’explore l’offrande comme un acte sacré qui unit l’humain à l’universel, au-delà des religions, cultures ou croyances. Chaque geste peut devenir une offrande à l’Amour dans sa forme la plus large: l’abandon de soi à cette force primordiale qui traverse et soutient le monde vivant.» confie l’artiste.
Utilisant des pigments naturels, des encres, de l’acrylique et de l’huile, elle crée des œuvres riches en couleurs, textures et transparences superposées, révélant paysages imaginaires et terres oubliées, qui éveillent une mémoire ancestrale d’unité du vivant.
Imprégnée de la sagesse de la nature et des traditions du rêve du monde entier, sa peinture célèbre le monde naturel, l’innocence et la joie d’être vivant. Souvent comparées à des peintures-médecine, ses oeuvres ouvrent des passages au-delà du monde, invitant le spectateur à jouer avec le rêve comme avec la vie: au-delà des apparences. “Pangea: offrandes à l’Amour” offre un voyage sensoriel dans les murmures de la terre, de l’eau, du vent, des étoiles. |